La reconquête
industrielle est en marche.
Cinq des 34 filières choisies dans le cadre
du plan de réindustrialisation de la France sont entrées, vendredi
dernier, dans leur phase opérationnelle.
Leur point
commun :
ces cinq premiers projets entendent tous favoriser la transition énergétique,
qu’il s’agisse de la mise sur le marché d’une voiture consommant moins de deux litres au cent kilomètres, de la commercialisation d’un avion électrique biplace pour l’instruction des pilotes,
de la création d’un réseau de bornes électriques pour recharger les voitures,
de la mise au point de nouvelles générations de batteries (notamment des piles au lithium) et,
enfin, d’un satellite à propulsion électrique.
et à stopper le déclin de cette dernière. L’objectif est ambitieux.
Il s’agit, au final, de reconquérir des parts de marché dans la compétition mondiale avec,
en toile de fond, la capacité de créer des emplois.
Ainsi, jugée stratégique par le gouvernement, la filière stockage de l’énergie
-via les batteries au lithium – pourrait aboutir à la création de 10 000 emplois d’ici 10 à 15 ans.
correspondent à trois critères : se situer sur un marché en croissance
ou présentant des perspectives de croissance forte, se fonder sur des technologies
que la France maîtrise et occuper une position forte sur ce marché avec des entreprises leaders
ou disposer d’un écosystème qui va permettre d’atteindre ces objectifs.
La chimie verte, les biotechnologies médicales ou bien encore les objets connectés
sont autant d’autres filières prometteuses pour l’avenir.
Au total, plus de 250 entreprises devraient être impliquées dans ces 34 plans qui, à l’arrivée,
pourraient permettre la création de 480 000 emplois et générer 45 milliards d’euros de valeur ajoutée.
ces cinq premiers projets entendent tous favoriser la transition énergétique,
qu’il s’agisse de la mise sur le marché d’une voiture consommant moins de deux litres au cent kilomètres, de la commercialisation d’un avion électrique biplace pour l’instruction des pilotes,
de la création d’un réseau de bornes électriques pour recharger les voitures,
de la mise au point de nouvelles générations de batteries (notamment des piles au lithium) et,
enfin, d’un satellite à propulsion électrique.
Création d’emplois
Chacun de ces projets doit, à la fois servir à doper la compétitivité de l’industrie françaiseet à stopper le déclin de cette dernière. L’objectif est ambitieux.
Il s’agit, au final, de reconquérir des parts de marché dans la compétition mondiale avec,
en toile de fond, la capacité de créer des emplois.
Ainsi, jugée stratégique par le gouvernement, la filière stockage de l’énergie
-via les batteries au lithium – pourrait aboutir à la création de 10 000 emplois d’ici 10 à 15 ans.
Favoriser l’apparition de leaders
De manière plus générale, les priorités retenues pour ces 34 plans de reconquêtecorrespondent à trois critères : se situer sur un marché en croissance
ou présentant des perspectives de croissance forte, se fonder sur des technologies
que la France maîtrise et occuper une position forte sur ce marché avec des entreprises leaders
ou disposer d’un écosystème qui va permettre d’atteindre ces objectifs.
La chimie verte, les biotechnologies médicales ou bien encore les objets connectés
sont autant d’autres filières prometteuses pour l’avenir.
Au total, plus de 250 entreprises devraient être impliquées dans ces 34 plans qui, à l’arrivée,
pourraient permettre la création de 480 000 emplois et générer 45 milliards d’euros de valeur ajoutée.
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Capture d'écran: http://www.bpifrance.fr/Vivez-Bpifrance/Actualites |
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