02 décembre 2014 à 13h53
L'entreprise de construction CLAPOT (siège à
Saint-Maurice-les-Châteauneuf), qui était en redressement judiciaire
depuis juin, a été mise en liquidation judiciaire le 14 novembre.
Après quinze jours de continuation pour les chantiers en cours, pour lesquels une centaine d'intérimaires ont aussi été embauchés, les 30 salariés (contre une soixantaine dans les années 80 et 40 avant la liquidation judiciaire) se sont retrouvé vendredi au chômage.
Jean-Michel Clapot, dirigeant fondateur de l'entreprise Clapot en 1978, avait revendu toutes ses parts en mars 2008 au groupe BGLL, géré par Stéphane Guignard. L'entreprise a été victime de la crise, qui a fait chuter ses carnets de commandes.
Le projet de reprise initiale n'ayant pas pu être bouclé dans les délais, la seule perspective est maintenant un plan de redémarrage post-liquidation qui pourrait, via un repreneur potentiel, permettre une reprise des actifs industriels disponibles, donc du matériel, et peut-être le réemploi de quelques personnes.
Source : Flash-infos
Après quinze jours de continuation pour les chantiers en cours, pour lesquels une centaine d'intérimaires ont aussi été embauchés, les 30 salariés (contre une soixantaine dans les années 80 et 40 avant la liquidation judiciaire) se sont retrouvé vendredi au chômage.
Jean-Michel Clapot, dirigeant fondateur de l'entreprise Clapot en 1978, avait revendu toutes ses parts en mars 2008 au groupe BGLL, géré par Stéphane Guignard. L'entreprise a été victime de la crise, qui a fait chuter ses carnets de commandes.
Le projet de reprise initiale n'ayant pas pu être bouclé dans les délais, la seule perspective est maintenant un plan de redémarrage post-liquidation qui pourrait, via un repreneur potentiel, permettre une reprise des actifs industriels disponibles, donc du matériel, et peut-être le réemploi de quelques personnes.
Source : Flash-infos
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