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mardi 10 février 2015

392 groupes offset vendus en France en 2014

Le SIPG vient de dévoiler les chiffres du marché offset pour 2014.

Le  par 

Présidée par Michel Faust, directeur général de KBA France, la commission impression offset du Syndicat national des fournisseurs d'équipements pour les industries papetières et graphiques (SIPG) a eu lieu le 30 janvier dernier.
Réunissant les sociétés Argos, Heidelberg France, KBA-France et Komori, elle a fait le point sur les dernières évolutions du marché et sur les ventes de cylindres offset neufs en France en 2014.
Le marché global
Selon les derniers chiffres de la commission, en 2014, se sont vendus 392 groupes neufs vendus. Le marché offset tous formats confondus est assez stable, puisqu'il n'enregistre qu’une baisse de 4% par rapport à 2013.
Sur le segment packaging
Dans le secteur packaging qui inclut les étiquettes, l’emballage est "un marché toujours porteur et particulièrement tonique", estime le SIPG.
 
Sur le segment labeur 
Le marché labeur est toujours actif dans un environnement numérique grâce aux derniers développements et évolutions techniques des matériels offset.
Le SIPG rappelle également que plus de 90 % du tonnage papier vendu en France reste imprimé en offset.
"Les divers modes d’impression ont su s’adapter aux exigences du marché et deviennent naturellement complémentaires."
 
Le marché 2 poses (36 x 52)
Il s’agit d’un marché en cours de disparition (-30 % par rapport à 2013), remplacé majoritairement par des solutions numériques.
 
Le marché 4 poses (52 x 72)
Le modèle d'entreprise pour le numérique n’étant pas abouti dans ce format, les procédés traditionnels prennent toute la place, renforcés de plus par les dernières évolutions technologiques. Le 4 poses progresse ainsi d'environ 15% par rapport à 2013.
 
Le marché 8 poses (70 x 100)
Le SIPG constate un très léger tassement de ce marché dû à une augmentation des délais de livraison chez tous les fabricants.
Ce rallongement s’expliquerait d’une part, par les diverses restructurations en cours chez les constructeurs, et d’autre part, par un nombre important de configurations spécifiques
(machines complexes) qui nécessitent des temps de fabrication plus longs qu’une presse standard.
http://www.graphiline.com/

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